Je suis devenue une pute à blacks

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il y a 4 ans

Tout avait mal commencé. Le décès de mon papa m’avait profondément affectée comme on peut le concevoir pour une fille pour laquelle celui-ci avait été le paradis et comme un dieu.

Ainsi fus-je enfoncée dans une longue dépression qui devenant interminable choqua mon mari lequel voulut à toute f o r c e m’en guérir. Cela l’agaçait.

La compassion y avait peu de part. C’était un égoïste. Mon mariage avec lui était devenu malheureux. Il m’exhibait telle une potiche. Il ne me touchait plus. Je lui savais des maîtresses par le propos d’âmes charitables. Tout s’était envenimé il y a deux ans. Nous avions embauché un homme à tout faire et pour lequel une part du revenu était compensé par du crédit d’impôt. Mon mari était du genre pingre et toujours avisé pour les choses d’argent. Je croisais tôt le matin, le gentil Traoré lorsque j’allais au bureau.

Il enlevait à cette époque les feuilles m o r t es qui jonchaient notre pelouse. J’étais flattée de son regard sur ma personne. Intérêt dont j’avais l’habitude, mais qui me touchait particulièrement venant de ce joli garçon sénégalais et à la peau d’ébène. En même temps j’étais chagriné du comportement de mon mari dont le racisme était avéré. Il eût été plus conforme qu’il demandât à l’agence qu’on lui remplaçât ce nègre, mais manifestement, il lui plaisait devant moi d’humilier le garçon. Ce trait d’injustice me l’attacha davantage. Il est vrai que j’avais reçu il y a peu comme une révélation. En effet l’été précédent j’avais surpris comme par mégarde ma voisine, une notoire vicieuse en train d’être besognée dans un coin du jardin par un nègre que je reconnus comme l’un de nos éboueurs.

Il était manifeste qu’elle avait dû l’allumer régulièrement chaque matin. Ce coquin peu après son service était venu quérir sa chose et son plaisir. J’étais choqué qu’ils fissent cela un peu au su de tous. Outre moi, d’autres voisins pouvaient se régaler du spectacle. Je songeaisavec pitié à la réputation de son pauvre mari. Le choquant ce jour-là fut que je demeurais durant une heure à les observer tous deux planquée derrière mon rideau. J’en étais fascinée en même temps que je savais coupable mon comportement. Surtout avec ma main vins-je à me caresser.Nul détail ne m’échappa. J’étais à près de trois mètres dessus eux. On eût dit que j’étais en tiers entre eux prête à participer.

La queue du type était noire et énorme. Rien de comparable à ce que j’avais pu contempler sur une photo ou dans un porno. Rien ne remplace le réel. Je n’étais pas peu surprise qu’elle pût engloutir cela aisément dans sa bouche. Elle le suçait avec avidité tout en lui tripotant les couilles. Le porc était aux anges. Par la suite elle fut entreprise en levrette sur la pelouse. Elle écarta ses fesses et convint d’être enculée sans broncher. J’étais éberluée de voir ce machin entrer et sortir tour à tour de son cul. C’était monstrueux. J’étais à la fois horrifiée et attirée par le phénomène. Manifestement cela la faisait grimper au ciel. Je l’enviais. Je me dis que je n’avais jamais atteint à une telle jouissance. Il était patent que mon mari m’avait dédaigné sur ce plan. À plus de quarante ans, je voyais ma jeunesse inéluctablement s’enfuir. J’étais furieuse que la truie bénéficiât d’un régime qui m’était refusé. Cependant assumer le chemin jusqu’à l’adultère requérait un effort invincible.

Un temps avais-je oublié cette terrible circonstance, la venue de Traoré avait cependant rallumé mon désir pour la gent noire. L’été venu ce fut infernal. Mon beau black tout de sueur exhibait malgré lui ses pectoraux à travers un tee-shirt. Cela devint intolérable. Ma voisine s’enquit à le draguer. Puis un jour je sus que peu après le service elle l’avait invité à un café. Cela se répéta. À la mine ravie du doudou, je n’eus plus de doute. Il se tapait la putain. Le mors de la jalousie griffait mes chairs. Je me touchais le soir songeant à leurs ébats. Bientôt en vins-je à l’allumer à mon tour ? De loin étais-je incomparablement plus belle et désirable que l’autre idiote ? Je me savais femme superbe et brune. De ces bourgeoises sur lesquelles on se tourne dans la rue et qu’on désire d’autant qu’on les sait inaccessibles. Un temps m’étais-je flattée d’être vouée et protégée par ce piédestal. À présent il me pesait d’être respectée et abandonnée trop solitaire sur ce même piédestal. Je voulais descendre de celui-ci et rouler dans la fange comme ma voisine.

La jouissance et le bonheur étaient à ce prix. Je faisais attention que mon mari n’entrevit rien de mon jeu. Il se fut vengé, je le sais sur le pauvre Traoré. Aussi m’assurais-je qu’il ne fut pas là quand j’allais vers Traoré bouteille de jus à la main, sourire barrant mon visage et la robe fendue par le devant qui laissait voir des cuisses que je savais belles. Dès la première fois, l’expérience fut probante. Outre son regard illuminé, je pus aviser rapidement par la bosse du pantalon que mon joli petit mâle bandait. Je lui faisais indéniablement de l’effet. À mon tour ma culotte mouillait. Bientôt je n’eus de cesse de voir si son sexe était aussi gros que l’éboueur de l’autre été. Je le voulais cueillir dans ma bouche. Il n’était pas juste que cette queue ne fut sucée que par la voisine. N’était-il pas mon employé ? Il se devait à moi autant qu’à mon mari. Le scrupule de l’adultère s’éloignait peu à peu.

Par maintes gestes et poses, je poursuivais mon jeu de séduction. Ainsi effrontément me baissais-je souvent devant lui afin que sous une courte jupe il vit tant mes cuisses que mes fesses dont un string n’exemptait nul détail. J’espérais qu’il me devinât et passât outre ma réserve et mon apparence de timidité. Je n’en tins pas moins à l’idée de le débaucher. Une après-midi après que j’eus posé une RTT, je l’invitais à déplacer un meuble dans mon salon. Il faisait irrémédiablement chaud. Ce climat disposait à la langueur et à la volupté. J’avais un petit haut qui manifestait assez l’opulence de mes seins et l’on pouvait deviner sous ma jupe, un string par le devant si transparent et que j’avais peu avant acquis sur un site spécialisé. Bref j’étais harnachée comme une pute. Il mit de temps quelque temps à oser. Ce fut après que nos regards se fussent croisés et trahissent l’éloquence d’un désir mutuel qu’il osât porter la main sur mon sein.

Après tout se précipita et se mêla. Nos bouches se collèrent. Il me plaqua contre un mur en pétrissant peu après mes fesses. Tout explosa telle une révélation. Je devins à cet instant une autre et nouvelle femme. Que de temps perdu ! Que n’avais-je passé avant ce rubicond. J’en avais les larmes aux yeux. Je me rappelle avec quelle hâte je pris son beau sexe dans ma bouche. Notre étreinte se poursuivit sur le carrelage. Nous nous comportâmes avec furie et b e s t i a l i t é . Je n’étais pas peu étonnée de ma fougue et de ma gourmandise. Je ne me fus pas cru si garce. Je serais mal venue à présent de critiquer et de snober la voisine. Non moins qu’elle je branlais et suçais hâtivement mon nègre. J’adorais que celui-ci me fouillât la chatte. Je grimpais à mon tour au ciel.

Ce ne fut qu’au bout d’une semaine que je consentis à être dépucelée du cul. Traoré fit montre de délicatesse. Je ne parvins à la jouissance là-dedans que les jours suivants. Il y avait aussi une idée de vengeance, car un jour outrepassant le scrupule de l’amant, je l’entraînais dans le lit conjugal afin qu’il me baisât dans cet endroit sacré où ronflait chaque nuit son inepte employeur. Je savourais la tête de celui-ci s’il nous eût vus. Il aurait découvert avec effarement que sa femme était une chienne et avait une prédilection pour les noirs. Je ne mériterais que plus tard ce titre de putain à blacks.

Ainsi tout l’été jusqu’à l’automne fus je besognée et pénétrée par mon doux Traoré. Ce dernier n’ayant de cesse de m’honorer. Puis vint ce jour funeste où mon mari m’annonça irrité que le gouvernement eût établi des restrictions quant à l’avantage fiscal. Bref il avait signifié à Traoré qu’on se passerait désormais de ses services. J’en fus m o r t ifiée. Nous nous vîmes cependant à l’extérieur. Il me baisait souvent dans la voiture. Puis peu après il partit pour un voyage en son pays. Puis manifestement il changea de coup de numéro. Je n’eus plus de nouvelle. Un autre de ses amis, rencontré m’annonça qu’il s’était marié au pays. Je ne pouvais qu’être contente pour lui. Pour finir cette histoire, une connaissance de mon mari lui conseilla concernant ma dépression, un ami psy.

Pour contenter mon mari et comme pour me débarrasser, j’acceptais. Ledit psy outre de me prescrire des médocs, me dirigea vers un kiné. Je m’empressais de jeter à la corbeille les médocs et n’en allait pas moins aux séances kiné auxquelles je ne pouvais déroger. À ma surprise ce kiné était un joli black dont le visage m’évoqua de suite mon ancien et doux amant. On eût cru que dans mon malheur celui-ci s’était réincarné en un autre. Ce Kiné se prénommait Jean-Philippe. Au mental il n’avait rien à voir avec le doux Traoré. Il me séduisit sans scrupule. Il avait avisé d’emblée mon genre vicieux. Il me dit avec le dernier cynisme que le remède pour mon genre de salope était de me faire sauter régulièrement. Il savait la thérapie idoine pour cela. Je devins son amante voire sa putain. Il m’offrit à d’autres nègres de ses amis. Ainsi appris-je la pluralité et la vraie lubricité.

Je guéris sur le coup. Me jetant à fond dans la débauche, je devins une pute à blacks écumant toute la région. Mon mari se réjouit. Il tint à remercier publiquement le psy. Celui-ci s’en attribua tout le mérite omettant cependant le service du kiné et que celui-ci était un noir. Je ne voulus démentir ces apparences alléguant que les paroles de réconfort et les médocs avaient opéré en effet ce miracle.

Mon imbécile de mari s’il avait fréquenté depuis certains lieux : rues, bars et boites, eût été bien en peine de reconnaître dans une brune maquillée portant mini, cuissardes, sa femme. Il serait exclamé enjoué : – regarde cette pute qui fait de la lèche aux blacks !

Allan

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